Onction des malades

Le sacrement des malades a pour but de donner une aide spéciale au chrétien confronté aux difficultés d’une maladie grave ou de la vieillesse

 » Le Seigneur Jésus-Christ est le médecin de nos âmes et de nos corps. II a pardonné ses péchés au paralytique et il lui a rendu la santé du corps (Marc 2, 1-12). Il a voulu que son Église continue son œuvre de guérison et de salut, par la force de l’Esprit Saint.

C’est le but des deux sacrements de la guérison : le sacrement de la Pénitence et de la Réconciliation et le sacrement de l’Onction des malades.

Le don du retour vers Dieu

Le pardon des péchés commis après le Baptême est accordé par le sacrement dit de la conversion, de la confession, de la Pénitence ou de la Réconciliation.

Revenir à la communion avec Dieu par la conversion est un mouvement suscité par la grâce de Dieu plein de miséricorde et désireux de sauver tous les hommes.

Nous devons demander cette grâce pour nous-mêmes comme pour les autres.

La confession individuelle et complète des péchés graves suivie du pardon sacramentel appelé l’absolution est le moyen habituel pour la réconciliation avec Dieu et avec l’Église.

La conversion implique de se repentir, de regretter les péchés que l’on a commis et de s’engager par une ferme résolution, et avec le secours de la Grâce, à réparer le mal que l’on a fait et à ne plus pécher à l’avenir. Le repentir, appelé aussi contrition, doit être inspiré par la foi.

Dans la Bible

« L’esprit du Seigneur est sur moi parce que le Seigneur m’a consacré par l’onction.

Il m’a envoyé porter la bonne nouvelle aux pauvres,

guérir ceux qui ont le cœur brisé,

annoncer aux prisonniers la délivrance et aux captifs la liberté,

annoncer une année de bienfaits, accordée par le Seigneur,

et un jour de revanche pour notre Dieu.

Alors, tous ceux qui pleurent, je les consolerai.

Au lieu de la cendre de pénitence, je mettrai sur leur tête le diadème ;

ils étaient en deuil, je les parfumerai avec l’huile de joie ;

ils étaient dans le désespoir, je leur donnerai des habits de fête. »

Livre d’Isaïe 61, 1-3

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